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Tour du Monde

Tour du Monde
  • Dans quelques petits mois, nous nous envolons, pour notre Tour du Monde... " Je réponds ordinairement à ceux qui me demandent raison de mes voyages que je sais bien ce que je fuis mais non pas ce que je cherche"
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Tour du Monde
3 janvier 2011

Navidades...

Le Venezuela, malgré ses paradoxes nombreux, est tout de même un lieu idéal pour passer les fêtes de fin d’années : Caracas se vide (ou presque), et chacun prend la voiture pour rejoindre les lieux paradisiaques de ce pays (à ses risques et périls vu l’état des routes)…

Notre périple s’est donc « achevé », d’abord coté est, à Rio Caribe : petite ville portuaire colorée, où plages désertes et voitures de trafiquants de drogue se côtoient facilement. Rio Caribe c’est donc, cocotiers, pélicans, vagues, plages improbables…et familia.

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Deuxième étape des « navidades », coté ouest, dans l’état de Falcon (qui a été particulièrement touché par les inondations de ces dernières semaines), direction : Parc National de Morrocoy ! « L’intérêt » du parc, outre la visite familiale, réside en la visite des iles, entre sable blanc et eaux turquoises, qui varie chaque jour…Lagons, oiseaux, Wake board…

 

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Pdpp…

Navidades ici, c’est donc des jours bercés au soleil des plages désertes, et des nuits, bercés par le rhum et la salsa. Noel, c’est aussi hallacas (plat typique de ces fêtes), pernil, musique et feux d’artifices (si possible tous les soirs). Noel, c’est aussi la « Tutti » (femme de 93 ans), dansant presque fougueusement après deux verres de Cuba Libre…

Navidades, c’est, coté Morrocoy, des journées de luxe, des apéros à la plage, des soirées avec vue sur la baie de mangrove qu’est le parc national de Morrocoy et de belles rencontres avec la Famille coté Ayesta… Ah, Nouvel an, ses feux d’artifices, son champagne et une posada entière dansant pour le coup très fougueusement sur les rythmes endiablés de cette folle musique d’ici…

Ps1. Muchissimas gracias a toda la familia, a la KIKI Thonon del lado Rio Caribe, y a toda la Familia Ayesta, con quien pasemos unas navidades de suenos…

Ps2. Pour ceux, qui auraient une petite envie de se réchauffer au soleil de Morrocoy, il n’y a qu’une seule adresse : http://www.venezuelatuya.com/hoteles/mostrarhotel.htm?45,Posada_El_Para%EDso_Azul_Morrocoy_), …Si vous le pouvez, courez-y !

Ps3. Une happy, feliz et joyeuse année 2011 à tous !!!!, Merci de nous avoir suivi…pour nous retour très bientôt, à la Casa !!!!

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15 décembre 2010

Venezuela, Acte 2.

Il a continue a pleuvoir, ici a Caracas.
Un vrai deluge.
Glissements de terrain. Routes coupees. Refugies. Quelques morts. Petit chaos…

Il nous en a fallu, du temps, des aventures, de la patience….pour pouvoir partir la bas, tout au fond, a la limite de la frontiere Bresilienne…au pays du tepuy…
Et on y est arrive.

Le Roraima.
Tepuy le plus haut.
Un geant enigmatique se dressant dans la Gran Sabana.

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Ensuite,
Marcher…
Et marcher…
…sur la lune …
La haut, les pierres sont noires, et ont des formes enigmatiques (un E.T., une tortue, un cheval peut etre…). La haut, tout est etrange (des grenouilles noires qui ne sautent pas, des plantes insectivores qui n existent qu ici…)

Vertige.

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Pddp. Des vacances donc avec la team afta, a coup de on loupe l avion, on reste calme, on prend le bus de nuit, on se tape les militaires (et pas qu une fois, ces C..la demandent au bus entier de descendre a 5h du mat pour faire l etat de tous les bagages), on perd aux cartes (surtout …nan, je ne suis pas une balance)….des vacances qui se poursuivent donc avec le fameux trek, sept jours de bonheur a batifoler avec les puris puris (des monstres mignatures pire que nos gentils moustiques), a regarder la lune souriante, a admirer ces choses uniques de ce pays que sont les tepuys, tout en degustant un arepa au petit dej…Des vacances ou l on rentre en marchant comme des canards, a grand coup de courbatures persistentes…que du bonheur, quoi!

23 novembre 2010

Caracas, Acte 1

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C’est la saison des pluies. Il pleut donc tous les jours. Cela crée des inondations et glissements de terrain.

Toutes les scènes de cet acte se passent en famille, ou presque.

Soit dans une grande maison en retrait de la capitale, dans une sorte de jungle. Cela s’appelle le « Junko ». Il y a aussi les amis. Les maisons d’amis. Les fiestas d’amis.

Soit dans un appartement au cœur de Caracas, au dixième étage. Entouré d’immeubles, aux portes et aux fenêtres sécurisées. Et aux odeurs d’arepas, de fleurs et de pollution.

 

…Pdpp : pour nous, premiers moments où l’on « reste en place », entourés de la familia, qui nous chouchoute…Mais plus pour longtemps…Le 27, la Team Afta (aftapère et aftamère) se joignent à nous pour faire un petit trek dans une de ces beautés de ce pays incroyable et paradoxal : Le Roraima. Le Vénézuela est, en effet, un pays absolument épatant pour sa flore, faune et nature, mais aussi assez « flippant » pour son insécurité, pour son « socialismo », pour son président, Chavez, sujet phare pour les Vénézuliens…

7 novembre 2010

El fin del Peru

Après les beautés de Cusco et de ses environs, difficile de faire mieux…

Arequipa, « la ville blanche », a tout de même réussit à nous envouter : avec son volcan, le « Misti » culminant à 5800m, avec son couvent magnifique de Santa Catalina et avec ses momies d’enfants retrouvées sur les sommets de différents volcans des environs (les Incas faisaient ce type d’offrande pour calmer la colère des dieux, suite aux éruptions).

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Après, direction : Lima, la capitale, dernière étape, un peu pépère, de notre voyage au Pérou…Un coup de shopping, un coup de « dimanche » (c’est à dire « on ne fait pas grand chose aujourd’hui »), un coup de Huaca Pucllana (sorte de pyramide de briques faites d’un mélange de sable, où ils ont découvert encore dernièrement des momies..).

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…Pdpp : les derniers moments du Pérou ont donc été reposant (après les derniers 17 heures de bus pour arriver à Lima, pépère et mémère avaient besoin de récupérer)…et festifs (avec les amigos Catalanes -Maria y Jordi- du Chili- retrouvés)…IL faut dire aussi que le Pisco Sour*, c’est délicieux… !

* beaucoup de pisco, un peu de citron et un blanc d’œuf …

23 octobre 2010

THE Machu

 

C’est un peu « cliché » de parler du Machu Pichu…En tout cas, on peut dire que l’endroit est incroyable, et à la hauteur de sa réputation. Après…Les images parlent d’elles-mêmes…Ou presque…

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…Pdpp : Le Machu Pichu, c’est aussi, une étape touristique finalement assez drôle…Tout le monde, arrive au village « d’en bas du Machu », en train, ou presque tout le monde ( c’est à dire, « ceux qui n’ont pas la flemme » et qui sont arrivés en trois ou quatre jours de trek ) . Ensuite, tout le monde, arrive au site en bus en ½ heure ; ou presque (« ceux qui n’ont toujours pas la flemme » et qui montent au Machu à pied en 1h30, voire plus, pour ceux qui se sont paumés dans le noir)..

Pour une partie de ces touristes, les plus motivés, l’idée est donc de se lever vers 3h -3h30 du mat’ pour réussir à être dans les 400 « élus » à pouvoir avoir accès et gravir le WaynaPichu (montagne en face du Machu, d’où l’on a une vue époustouflante et d’où l’on peut mieux réaliser la folie des Incas –comment ont ils fait pour construire tout ça tout là-haut ????-)…

Pour être plus claire, tout les « heureux gagnants » se sont levés aux aurores: « ceux qui ont pas la flemme » et qui ont commencé leur ascension vers 4h du mat (et qui arrivent là haut dans un état…hihi) et ceux qui ont attendu l’ouverture des portes du bus, pareil à 4h du mat’, en sirotant des cafés con leche, et en bavardouillant avec nos collègues « qui ont la flemme mais qui ont eu le courage de se lever »…et ce jusqu’à 5h30…Après, les deux « types » de touristes se rejoignent là haut…et là, le suspens est à son comble !

En tout cas, tout cela fait qu’une petite partie des premiers (nous, on était les 103 et 104eme- mais on faisait partie du coté obscur… de ceux « qui avaient une sacrée flemme » on a pris et le train et le bus- je sais « c’est nul » mais vous verrez, au bout de 10 mois, on fatigue !-), bref, donc les premiers arrivés sur le site ont non seulement une vue de l’endroit dégagée de toute « pollution » visuelle (que représentent les troupeaux de 40 touristes suivants un drapeau rouge qui débarquent à partir de 7h)mais aussi une « tête dans le c.. » assez monumentale...Oui tout cela est assez sympathique…

Rassurez vous, on a fait partie de « ceux qui n’ont pas la flemme » de redescendre à pied jusqu’au village…

 

 

 

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15 octobre 2010

Cusco o Cuzco

 

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Penser à Cusco, c’est penser tourisme (c’est à priori la ville la plus visitée d’Amérique latine) et donc c’est penser Machu Pichu. En réalité, une fois arrivés ici, on se rend compte que cette ville regorge de trésors parce que c’est une ville qui a gardé ses bases Incas, et donc le mélange « vieille pierre maison blanche » est vraiment charmant, et parce qu’aux alentours, il y a de nombreux sites sacrés qui méritent le détour.

Avec leur « pass », carte touristique qui permet l’entrée dans pas mal de ces sites, on a dix jours pour tout faire…Dix jours pour plonger dans une histoire presque effacée, dix jours pour s’imaginer « l’avant », et pour se transformer en archéologues…

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…Pdpp : Malgré le froid et la pluie, on risque de rester un bon bout de temps ici. Non seulement parce qu’il y a vraiment de quoi faire mais aussi parce que ces derniers temps on a pas mal bougé et que se poser parfois plus longtemps nous fait un grand bien. Il faut dire aussi qu’on kiffe les pierres (avec une spéciale dédicace à Saqsayhuman)…Alors on met le bonnet et on essaie de ne jamais oublier le kway (le printemps ici, ça veut aussi dire, saison des pluies)…

Prochaine étape la semaine prochaine, la vallée « Sagrado de los Inkas », avec l’incontournable Machu Pichu…

 

11 octobre 2010

La parenthèse Amantani

 

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Le lac Titicaca appartient donc a deux pays : la Bolivie d’une part et le Pérou de l’autre, qui le détient à 70% ( sachant que sa surface est de 8 500 km2, il y de quoi pécher…). Ainsi lorsque l’on passe d’un pays à l’autre, on passe juste d’un coté à un autre coté de ce lac magique et envoutant. Il y a évidemment quelques différences notables entre ces deux côtés : Puno est une ville plus moderne et plus organisée…

Les Péruviens se sont organisés différemment autour du tourisme et ainsi, sur l’ile d’Amantani, à près de 4 heures de bateau, il n’y a aucun hôtel qui dénature cette ile authentique…Des familles accueillent chaque touriste souhaitant dormir là. On vit alors les choses différemment…

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…Pdpp : Nous sommes bien évidemment tombés amoureux de l’ile et de la famille qui nous accueillaient. Presencia et Amadeo nous ont en plus  appâtés avec leur « fiesta manana », alors nous sommes restés deux nuits. La Fiesta en question était un jour férié pour les marins. On a eu le droit à une inauguration de place en grandes pompes et une après midi « foot » (les équipes sont constituées de marins de toutes sortes, qui ont légèrement picolé avant, pendant et après les différents matches, le tout sur fond de musique latine ; ceux qui ne jouent pas, sont assis sur les « gradins », et franchement boivent à ne plus pouvoir tenir debout…la fin d’après midi est donc très épique et très drôle !)

 

6 octobre 2010

El Lago y el Sol

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Un lac bleu foncé…

Comme une mer infinie…

Un soleil cru et cruel…

Des petits bateaux en forme de canard ou de cygne, le tout à 3870m : Bienvenue à Copaaacopacabannnaaaa ! On replonge dans la « civilisation », on retrouve des touristes, des « toblerones », des pulls en alpagas, bonnets et chaussettes en vente à tout les coins de rue, on re-craque pour des restaurants avec « comida internacional »…

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Ici, chaque pierre a une histoire…Entre celles des Incas et leurs nombreux temples détruits, qui peuplaient cette région « balnéaire », et celles liées à

la Vierge

de Copacabana ( dont la gigantesque cathédrale) qui font de ces lieux, un haut lieu de pèlerinage catholique.

Sur l’Isla Del Sol aussi les pierres sont sacrées : Templo del Sol, Mesa de Sacrificio, Roca Sagrada, Fuente del Inca…et j’en passe. D’ailleurs elle est l’île la plus sacrée du lac Titicaca. Trois jours sur cette île, entourée d’eau donc, mais aussi de montagnes blanchies, est « pur bonheur » surtout si on est en décalage avec la foule venue en bateau collectif…Les ballades sont franchement sublimes, et l’on croise ânes, cochons, et enfants sur les plages sauvages.

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…Pdpp :  Nous voilà donc au printemps ( d’ailleurs c’est très mignon, pour le solstice, ils s’offrent tous des petits cadeaux, des peluches, des ballons en forme de cœur avec des inscriptions qu’ils de comprennent pas toujours - j’ai dû traduire « be mine »-, des fleurs…) et avec lui notre voyage en Bolivie s’achève. Un peu plus d’un mois se sont passés ici, avec l’impression de passer d’extrêmes à d’autres, sous fond de musiques, de danses et de traditions. Un peu plus d’un mois et on a déjà pris nos petites habitudes locales : on mâchonne de la coca, on sifflote leurs chants (faut dire que ça reste bien dans le crâne)  on prend des buñuelos le matin (sans l’option Api – jus de mais chaud bizarre), des almuerzos le midi et une bonne vielle sopa le soir…Manquerait plus que je me fasse des tresses et que Carlos adopte leur accent !

Il nous reste ensuite un mois entier pour aller voir le fameux voisin, le Pérou, qui n’est qu’à un quart d’heure de Copacabana (enfin, c’est ce qu’ils disent)…

5 octobre 2010

La Otra Bolivia

Après un court passage à

La Paz

, où on en a profité pour se rendre à l’énigmatique Tiwanaku (avec sa fameuse Puerta Del Sol- voir photo), nous voilà embarqués pour un trip « authentique » dans les Yungas. Les Yungas, en gros, est une zone derrière la capitale, entre

la Cordillera Real

(avec six grandes montagnes dépassant les 6000m ) et l’Amazonie.

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Les Yungas, c’est donc très beau, et très paumé à la fois : la plupart des villages sont inaccessibles, et les heures de « transports » ne se comptent plus. C’est aussi très extrême : on passe de 4000m à

500 m

d’altitude et ainsi, d’une zone aride voire désertique, où les pics blancs rivalisent de pureté,  à « la puerta del amazonas », où la végétation est riche, verdoyante et où les chercheurs d’or peuplent les rivières…

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…Pdpp : Pendant cette petite période fortement sympathique et passablement crevante, on a eu l’honneur de tester les différents types de transports d’ici…Du camion, au pick-up, du minibus sur les routes de la « muerte », au taxi collectif (où on rentre à 9 –pour une 5 places - et personne sur le toit), et à

la Jeep

tout terrain (où l’on rentre à 13, dont deux sur le toit - pendant 6 heures, une broutille) : maintenant, on est vraiment des « experts » - sachant que ce n’était quand même pas nous sur le toit-.

Voir les Yungas, c’est passer du froid à une chaleur pesante, du pull aux tongues, de la crème hyper hydratante à l’anti-moustique (qui ne marche pas du tout sur les « pui pui » - avec 30 piqures sur mon unique jambe droite, il y en a qui se sont régalés-), d’une capitale à des villages poussiéreux et oubliés, où les gens sont surpris de nous voir trainer par ici…

18 septembre 2010

potosi Y Sucre

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Potosi est, pour certains, la « capitale du monde » : elle était la ville qui approvisionnait le monde entier de son argent, puis de ses pièces de monnaies. Aujourd’hui, tout cela a bien changé et l’on parle plus de l’âge des travailleurs de sa fameuse mine (plus de 800 enfants y travailleraient encore) ou de l’espérance de vie de ceux-ci (entre 35 et 40 ans)…

Potosi, pour d’autres, est la plus grande ville perchée à 4 100m…déconseillée donc aux asthmatiques, mais classée au patrimoine de l’Unesco !

Sur notre route, nous nous sommes posés à Sucre, et de nouveau, la magie et la chance d’être là, pour la fête annuelle en l’honneur de la patronne de la ville, la vierge Marie de Guadalupe, la « Maria » de l’Amérique Latine, celle qui apparut à un villageois Mexicain en 1500 et des brouettes. En effet, le 8 septembre est la date officielle de la naissance de la Vierge et le week-end suivant est plus que festif : presque trois jours entiers de danse et de musique ! Pour résumer, l’idée est de défiler comme pour le carnaval, par congrégations, et de danser, de manière traditionnelle, et ce pendant près de 5 heures étant donné qu’il y a 4 km à parcourir. Le tout se terminant, devant la relique de la fameuse Maria, si possible le mieux du monde (en réalité, tous s’écroulent de fatigue et d’émotion devant cette Vierge de perles et de pierres précieuses, se prennent en photo devant, puis repartent à cloche pied…). C’est évidemment très impressionnant, très intriguant et assez sympathique (à une heure du matin, le tout devient vraiment comique…le rhum local faisant effet).

…Pdpp : Sucre est aussi une ville où…l’on prend des cours d’espagnol…nan, pas pour Monsieur le Vénézelien, évidemment, mais pour la « franchouté ». Idéal donc de prendre des cours particuliers pas trop cher : la profesora en profite pour parler plus librement de son pays dont l’aspect démocratique est à remettre légèrement en cause…(non, je ne vais pas en profiter pour parler « machisme », mais je me retiens…)

Ici on profite bien et on prend le rythme local : on mange au marché, on goute au « Mondongon » (spécialité de Sucre), on goute aussi au BON chocolat, on finit par des salades de fruits, on visite évidemment cette ville aux maisons blanches, puis on s’en retourne à notre petite casa, où on se la tente local, à coup de quinoa et de papas…

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